Maeva mesurait a peu près 1 m 65, elle avait un teint clair, lorsqu'elle s'avançait, on pouvait comparait sa silhouette a une douce mélodie qui se joue sans trop qu'on comprenne pourquoi ni comment. Elle avait de longs cheveux châtain, doux, et soyeux , qui était naturellement ornés de boucles parfaites, quand ils étaient lissent il lui arrivaient jusqu'aux genoux, et en temps normal, jusqu'aux bas du dos. Son visage était pas parfaitement ovale mais cella ne changer rien a ses aires de poupée Barbie (que son visage), elle avait des yeux marrons plutôt noisette, qui brillait comme des pierres précieuses, un nez droit et très discret, et une bouche fine qui laissait paraître des dents blanches, et régulièrement alignées. On ne voyait point ses oreilles qui étaient soit cachées par ses cheveux soit (le plus fréquemment) par un casque. Au niveau vestimentaire, Maeva se vêtit de tous les genre, elle peut très bien s'habiller comme une princesse (une robe d'autre fois, avec un bustier très serré, décoré au centre, un bas qui part serré a la taille pour finir large aux pieds), comme une fashion victime (des hauts très à la mode, avec une petite veste, un slim et des converses), comme une bourgeoise (un T-shirt blanc recouvert d'un gilet entre le gilet et le bustier, avec un pantalon assortit au gilet et des talons haut) que comme une gothique ( de noir de la tête aux pieds, habiller avec de longues robes ou avec un hauts trash et un pantalon noir déchiré par endroit). Elle adorait les bijoux et accessoires, elle en a de toutes les tailles et de toutes les formes.

Pour commencer disons qu'elle ne peut vivre sans musique, elle est très discrète, elle ne cherche que la connaissance pour acquérir des pouvoirs magiques. Elle n'est pas du genre a causer des problèmes, et quand certains préfère faire la fête, crier , et tous déranger tous le monde jusqu'a pas d'heure, Maeva, elle aime d'avantage profiter du temps gâcher pppar les autres pour étudier, lire un livre , se cultiver, écrire des partitions ou tous bêtement écouter les artiste qui l'inspire le plus ( W.A.Mozart, Bach, A. Salieri, Händel, etc. ...) mais aussi de la musique de nos temps comme tous les gens de son âge. Par contre quand elle veut être insupportable, elle l'est vraiment ! Elle sait être un ange, un démon, un trublion, sage, perturbatrice comme calme. En général, elle est très franche, toujours fidele a elle-même, elle n’a pas peur du ridicule au contraire elle dit souvent « le ridicule amoche bien mais il ne tus pas ! ». Elle reste cependant très distante avec les autres, toujours en recule par rapport à eux, rare sont les personne qui connaissent la Maeva détendu, cool, sympas qui n’a besoin que de joie frivole et d’un peu de folie pour être elle-même.

D’une pièce au bout d’un couloir de la demeure des Sorabella, on entendait une douce mélodie jouer au piano. une divine symphonie interpréter par une jeune fille qui devait avoir tout au plus 4 ans et demi, ses cheveux châtains, longs et orné de boucles parfaites qui lui retomber sur ses yeux marrons clairs, pers, qui aidaient son visage mi ovale, mi carré a rayonner comme le soleil fessait brillais les touchez d’ivoire qu’elle frôlait à peine du bout des doigts. La jeune fille releva le bout de son nez discret et assez droit, elle suivait de ses fins doigts les lignes écrites sur le cahier posait devant elle. Sous l’œil protecteur de son grand frère elle se leva et demanda avec sa douce voix d’enfant qu’elle ne perdit jamais réellement:

« Mikelangelo ne pense tu pas que cette symphonie serait plus belle si elle était joué au violon ? »

Son frère posait à présent les yeux sur sa silhouette, frêle et mince la jeune fille avait l’air patibulaire mais en réalité elle avait juste la santé très fragile.

« Maeva combien de fois faudra-t-il te dire qu’en musique tu es libre de faire ce que tu as envie ! »

Maeva lui sourit ensuite laissant paraître ses dents blanches et alignées régulièrement. Sa bouche était assez fini et tous comme son nez discrète. 5 ans plus tard la jeune fille était toujours la entrant de jouer du piano, cette fois ci elle s’entraîner pour passez une audition pour une école de musique très réputer quand ses pouvoirs firent leur apparition, elle détesta la magie a cause de ce qui suivit , elle allait appuyait sur les touches quand le piano lui-même explosa. Bien que ses parents et son frère lui disaient que ce n’était rien, Maeva ne cessait de pleurer et de maudire c’est parents. * Et oui, ce disait elle, fais une croit sur la carrière musical ma belle, maintenant tu vas de voir aller a Poudlard… * pour Maeva rennocé a son rêve était un telle sacrilège qu'elle creusa un fossé entre elle et ses parents, qui ne pouvaient pas comprend ce qu'elle resentait, mais sa relation avec son frère devint elle plus forte car c'est lui qui l'avait inisier a la musique, lui qui avait également renoncé a se même rêve, lui qui était simplement son modèle.Et un effet à peine trois mois plus tard elle ressue la lettre de l’école de magie, ce jours la c'était fini Maev' n'adressa plus un mot a ses parents, brisant ainsi l'harmonie de la famille la joie qui régnait depuis sa naissance et ceux sans hésiter, sans penser a conséquence. Ainsi le premier septembre, elle prit place dans le Poudlard express avec son frère, Mikelangelo Sorabella, le meilleur ami de celui-ci Florent A. Miller et sa meilleure amie Constance C. Green.

Ses années d'étude passées à Poudlard :

Souvent malade Maeva ne participa qu'a la moitié de sa première année cependant elle avait toujours de bon résulta, la matière qu'elle préférait, c'était les cours d'enchantements ! rien que le nom lui rappelait une œuvre très connue de son idole, mais parcontre elle déteste les cours de Métamorphose car elle n'aimait pas entendre qu'on pouvait changer de forme un piano ou un violon! En deuxième année elle fut légèrement plus présente ce qui augmenta ses notes qui était presque parfaite sinon elle découvrit vite que finalement toutes les matières sont intéressantes et ce dernier point lui fut que bénéfique. Et surtout Maeva apprit qu'elle ne détestait plus Poudlard, mais qu'elle l'adorait plus que sa propre maison.