• Caractère & Physique - Une dizaine de lignes, mais plus, c'est mieux- :

Hailee en quelques mots, c'est une fille sensible, audacieuse, courageuse, joyeuse, voire agaçante, souriante et généralement aimable. Elle aime la compagnie des autres, et déteste la solitude, Hailee est également claustrophobe : elle a peur de l'enfermement, ce qui lui donne des crises de panique (elle voit ces crises comme une preuve de faiblesse, donc peu sont au courant). C'est aussi une personne très loyale avec ses amis, qui fera n'importe quoi pour les aider, quitte à blesser d'autres personnes involontairement. Lorsqu'on fait de grands gestes près d'elle, Hailee a le réflexe de reculer craintivement, même si il n'y a pas de raison de le faire. La Gryffondor ne parle que très peu de sa famille, et reste assez vague sur le sujet, mais on voit toujours que c'est un sujet qu'il vaut mieux ne pas aborder.
Du côté physique...Hailee est une tornade brune.Ses longs cheveux brillants aux reflets roux font pâlir d'envie plusieurs filles, et pourtant elle n'utilise que très peu de potions sur eux... De petite taille et plutôt menue, son regard chocolat parfois menaçant fait vite baisser les yeux, à son grand bonheur. Ses joues délicatement rosées contrastent avec sa peau pâle sans impureté. Dans l'ensemble, Hailee peut se vanter d'être une fille plutôt jolie.

• Histoire - Raconte ta vie, en au moins 25 lignes ! - :

Hailee est née à Londres le jour d'Halloween, au crépuscule. Bébé rieur, et éveillé, elle a tôt fait de devenir le bijou de ses parents. Ses parents, parlons-en, moldus, ils sont immensément riche, même si dans le monde sorcier cela n'a aucune importance. Son père est un médecin réputé, et sa mère styliste reconnue. Curieux mélange, certes, mais il fonctionne plutôt bien puisqu'ils sont mariés depuis près de 20 ans. Ils peinaient à enfanter, et pour sa mère, c'était vite devenu une obsession. Elle tenta toutes les possibilités moldues, et un jour son voeu s'exauça, et Hailee arriva. Parents aimants, ils gâtèrent la petite dès sa naissance, mais jamais elle ne devitn l'une de ces fillettes orgueilleuses qui font tout pour attirer l'attention. Non, elle resta un véritable ange, tout en faisant comme toute enfant diverses bêtises. Sa magie s'est manifesté dès son plus jeune âge : pour récuperer un objet, changer discrètement des légumes en bonbons...Toujours des tours innocents. Jamais personne ne s'en rendit compte. Seulement à mesure que Hailee grandissait, elle avait bien remarqué que ce n'était pas une chose courante. Sa famille étant très religieuse, elle imaginait bien que ça ne leur plairait pas que leur enfant, leur bijou, leur princesse soit une progéniture du Diable. C'est en tout cas ce qu'ils disaient quand des sorcières faisaient leur apparition dans des livres... Enfin, la fameuse lettre arriva, en même temps qu'un homme étrange. Calmement, il avait parlé aux deux adultes des dons de leur fille. Ceux-ci ne voulurent rien entendre. Il n'y avait que les monstres qui possédaient de tels pouvoirs, et leur fille n'en était pas un ! La petite, alors âgée de 11 ans, qui avait entendu l'échange brisa chacune des fenêtres, chacun des objets en verre présents dans la cuisine. Horrifiés, Mr et Mme Stanford tournèrent la tête vers leur petit ange. Comment était-ce possible ? Ils avaient initié Hailee à la religion dès son premier souffle, comment leur fille pouvait-elle venir du Diable ?! Le regard de ces gens sur leur fille changea progressivement pendant les vacances. D'abord, un silence pesant règna dans la maison, ensuite ce fut les cris. Pour en venir aux coups, et à l'enfermement. C'est de la que vient sa claustrophobie. Pendant l'été, elle fut obligée de rester dans sa chambre, avec juste de quoi manger et boire. En fin d'été, ses parents l'emmenèrent sur le chemin de traverse, sans lui adresser un mot, et en jetant de grands regards haineux aux sorciers. Au début, Hailee détesta la magie, ce qui l'avait éloigné de son paradis. Puis, après son envoi à Gryffondor, elle trouva des amis, noua des relations...Et apprécia même les cours. A la place, elle se mit à détester les vacances d'été, où le même cauchemar se rejouait mais de pire en pire.