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 Vous n'oseriez pas abandonner une demoiselle en détresse monsieur ?


Ewen MacGayl
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MessageSujet: Vous n'oseriez pas abandonner une demoiselle en détresse monsieur ?   Vous n'oseriez pas abandonner une demoiselle en détresse monsieur ? EmptyLun 25 Juin - 18:34

Sortir la nuit dans Poudlard, ça a toujours était un challenge. Mais en même temps, c'est aussi un très bon moyen de se divertir. Ewen avait toujours eu l'habitude de se promener le soir. Pas dans un but particulier, mais simplement pour trouver la solitude. Éviter les regards de ses camarades Serpentards. Avoir enfin la possibilité d'être soi sans masque. Il avait rarement fait des bêtises dans ces escapades nocturnes. En général, il marchait quelques heures dans les couloirs, sans but. Des fois il s'arrêtait à une fenêtre, et pouvait y rester accouder de longues minutes, ou alors il s'y asseyait pour observer l'extérieur, se demandant ce qu'aurait pensé Gwen si elle avait pu être ici, à Poudlard. Sans doute aurait-elle illuminé l'école de sa présence. Pas comme lui.

Il soupira, sa tête s'appuyant sur le montant de pierres de la fenêtre. Il était épuisé, mais en même temps, il savait que le sommeil une fois dans son lit lui échapperait. C'était toujours pareil dans ces moments là, quand le souvenir de sa sœur commençait à le hanter, il ne pouvait pas fermer l'œil de la nuit, ou très peu. Autant flâner, le temps serait moins long. La fine silhouette sortit de l'encadrement de la fenêtre, ses pieds nus se posant silencieusement sur le sol.

Il ne savait pas où aller. Il n'en avait aucune idée. Sans doute irait-il là où ses pieds le mèneraient. Comme d'habitude. Alors, il commença à avancer dans les couloirs obscurs, ses yeux se posaient sur les personnages de tableau assoupis. Au moins, eux, n'avaient pas de problèmes de sommeil. Nouveau soupir. En plus, aucune animation pour aiguiser sa nuit, aucun autre élève pour attirer son attention, rien. Peut-être aurait-il dû chercher la présence d'un autre élève, prendre un rendez vous auprès d'un de ses « amants », pour pouvoir s'oublier dans les bras de quelqu'un. Au lieu de cela, il se retrouvait à s'ennuyer. S'ennuyer ! La pire chose qu'il connaisse. La pire chose à subir quand votre cerveau n'a de cesse de vous rappeler tout ce que vous vous efforcez de mettre sous silence. Ses pas s'accélérèrent. Petit à petit, imperceptiblement, inconsciemment.

Puis s'arrêtèrent brusquement. Un sourire s'étira sur ses lèvres. Enfin un peu d'animation. Le miaulement qui venait de se faire entendre laissait présager un peu d'action. Il s'empressa de faire demi-tour. Cette fois, il ne marchait plus, il courrait. Toujours aussi silencieusement, bien pour cela qu'il ne portait jamais de chaussures la nuit. Il se plaqua contre un mur, bloquant son souffle.

Il pouvait entendre le ronronnement de cette chatte de malheur, il pouvait aussi entendre le sifflement de la respiration du concierge le plus minable et le plus pathétique de toute l'Angleterre. Le problème, c'est qu'ils approchaient. Il était au premier étage, et l'accès aux escaliers était absolument bloqué par la présence des deux comparses. Le blond resta figé, cherchant quoi faire. Il faisait basculer les hypothèses dans sa tête. Leur faire face était absolument impossible, il ne tenait guère à se faire attraper par ce sadique. Non, il devait trouver une solution. Vite. Vite. Vite.

Par Merlin ! L'androgyne bondit. Il savait où aller. De toute façon, il n'avait que cette solution ! Il reprit sa course. Un couloir, un autre. Enfin une porte ! Sa main se posa sur la poignet qui s'affaissa, pour ouvrir la dite porte. Il s'engouffra dans la pièce, le souffle court. Son regard bleuté croisa celui de l'homme. Du professeur William Turner, dit Hook. Les cheveux blonds de l'élève tombait de façon désordonnée sur son visage, ses joues étaient rosies par l'effort, ses pieds nus légèrement bleutés à cause du froid. Une vraie demoiselle en détresse que ce cher Ewen !


« Excusez moi de cette intrusion, mais... Je préfère amplement votre présence à celle de Monsieur Rusard. Accepteriez vous que je reste un petit moment avec vous ? Le temps qu'il s'éloigne un peu... Je vous promets de partir ensuite. »murmura-t-il d'une voix fragile, presque féminine.

Oui, c'était vil de jouer de ses charmes en toutes circonstances, mais il fallait avouer que dans cette situation, c'était son dernier recours. Qui résisterait à une jolie blonde en détresse hein ? Pas même un charmant professeur !
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MessageSujet: Re: Vous n'oseriez pas abandonner une demoiselle en détresse monsieur ?   Vous n'oseriez pas abandonner une demoiselle en détresse monsieur ? EmptyLun 25 Juin - 21:48

Moi professeur, j'en reviens toujours pas moi qui me croyais condamner à vivre éternellement dans l'ombre, et en plus je suis assez apprécier que demander de plus. Une longue vie à tendance à facilité l'apprentissage et j'avais apparemment retenu suffisamment de chose pour occupé ce poste. Et surtout sa me plaisais, être écouté par tout ses jeunes qui un ne mettent pas en doute ce que vous dites et deux vous respecte bon sauf deux ou trois rigolos mais dans une bonne classe y as toujours quelques agitateur n'est-ce pas? et puis sa met l'ambiance , de plus ils sont jeunes faut bien qu'ils en profitent.

Nan vraiment j'aime bien mon nouveau poste et en plus j'ai une chambre bien plus grande que celle que j'occupais avant, bon j'ai aussi plus de mal à faire rentrer mes conquêtes ici. Sauf si il s'agit d'élèves mais je ne suis pas vraiment pressé de perdre mon travaille et puis j'en doit une au directeur notamment la fois où il m'as gentillement aidé à échappé à un groupe de tueur de vampire...comment ont'ils sut que j'en étais un aucune idée....je suis discret pourtant je me nourris que de sang d'animal et humain quand je trouve quelqu'un d'assez généreux pour m'en offrir. Ce qui est assez rare je doit le reconnaître.

Oui, je réfléchis j'ai rien de mieux à faire ce soir je suis avec une bonne bière allemande à la main confortablement installé dans mon fauteuil en cuir en regardant la lune par la fenêtre. Bon d'accord sa fait cliché et? Je suis bien la c'est l'important, pour que ce soit parfait il faudrait juste ajouté...

J'entendis la porte derrière moi s'ouvrir et se refermer rapidement aurais-je finalement ce qu'il me manquait? A savoir une élève majeur qui viennent me voir en pleine nuit pour m'avouer son amour? Nan la j'en demande surement trop. Cependant mon intrus prit la parole.


« Excusez moi de cette intrusion, mais... Je préfère amplement votre présence à celle de Monsieur Rusard. Accepteriez vous que je reste un petit moment avec vous ? Le temps qu'il s'éloigne un peu... Je vous promets de partir ensuite. »

Cette voix semblais appartenir à une fille, une fille enroué ou à la voix plutôt grave. Peut-être avais-je raison de prendre mes désirs pour la réalité finalement je prit le temps de boire une gorgée de ma boisson avant de déclaré avec une lassitude feinte.

-Je te conseil d'allez dans ma chambre, si Rusard te suivais vraiment il vas entrée pour vérifier si tu est la.

En disant cela je tourna mon siège vers l'entrée la bière toujours à la main et le visage impassible. Je lui montra la porte de la dite chambre d'un signe de tête et restas silencieux.
Quelques secondes après le départ de l'arrivante la porte d'entré s'ouvrir brusquement sur un Rusard essoufflé et apparement de mauvaise humeur.


"Un élève dans les couloirs....rentrée ici."

Et bien notre collégienne l'as fait courir à ce que je vois, joli travaille avec un peu de chance cette vieille pie vas bientôt crever si les élèves continue de le faire courir comme sa.

"Il n'y as personne d'autre ici que moi imbécile de cracmol sinon je le saurais et je le punirais moi-même je n'ai nullement besoin de votre carcasse puante pour m'occuper de mes appartements maintenant sortez si vous ne voulez pas que je vous y aide en vous passant par la fenêtre."

Le concierge repartis l'air mécontent et je m'autorisas un sourire. C'est si agréable de remettre à sa place quelqu'un comme lui. Je tourna mon fauteuil vers ma chambre.

-Tu peux sortir si tu veux à moins que tu préfére que je te rejoigne comme tu veux. Toujours est'il qu'il faut que tu m'explique ce que tu fait dans les couloirs à cette heure-ci.
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Ewen MacGayl
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MessageSujet: Re: Vous n'oseriez pas abandonner une demoiselle en détresse monsieur ?   Vous n'oseriez pas abandonner une demoiselle en détresse monsieur ? EmptyLun 25 Juin - 22:53

Quand le regard d'Ewen croisa celui du professeur. Un court instant, il se demanda s'il n'allait pas se faire mettre à la porte illico presto. C'aurait été particulièrement problématique. Aussi espéra-t-il de toutes ses forces que son petit numéro de comédien ferait son effet. Il ne put être que soulagé en entendant la réponse de l'homme. Un sourire reconnaissant apparut sur ses lèvres instantanément. Bon sang, il ne dirait plus une vacherie sur ce prof' !

« Merci... »murmura-t-il en passant à côté de lui.

Il ne se fit pas prier et alla prestement se cacher dans la dite chambre, laissant la porte entrouverte pour ne rien perdre de la situation. Il préféra néanmoins s'éloigner de celle-ci, pour être sûr de ne pas être aperçu. Il s'assit donc sur le lit. La fatigue physique commençait à se faire ressentir, et ses pieds n'étaient pas contre le fait de se reposer un peu. A peine eut-il posé ses fesses sur le matelas -très confortable au passage-, qu'il put entendre la voix si reconnaissable de messire Rusard. Un frisson parcourut son dos. Il n'était pas passé loin cette fois ! Encore heureux que Turner l'est laissé entrer, autrement, il était cuit. Totalement cuit. Instinctivement, il retint son souffle, essayant de disparaître. Ce n'était pas forcément Rusard qui lui faisait peur, mais cette ignoble chatte qu'il avait dans les bras. Elle devait bien sentir sa présence ici, non ? Son odeur. Les animaux sont des espions terribles. Elle en première ligne ! Le blond eut du mal à contenir un rire en entendant la réplique cinglante du professeur. Et bien, l'entente dans l'équipe pédagogique était parfaite... Enfin, il fallait bien avouer que Rusard était naturellement antipathique, alors il n'était pas si étrange que les professeurs de l'école l'aient aussi pris en grippe. Ewen se demandait si une personne sur cette planète pouvait être capable d'apprécier un type pareil.

Dès que le concierge sortit de la pièce, le Serpentard eut un soupir de soulagement. Il se laissa tomber sur le lit, son dos tombant mollement contre le matelas. Bon sang, il avait un ange gardien au dessus de lui, il n'y avait aucune autre solution ! Il eut néanmoins un sursaut en entendant de nouveau la voix de l'homme. Il se redressa, s'asseyant correctement sur le lit, comme un gamin pris en faute.


« Votre lit m'a l'air confortable pour deux... Et puis, je vais peut-être éviter de me montrer non loin de la porte, on ne sait jamais avec Rusard. » déclara-t-il d'une voix calme.

C'était logique. Mais aussi terriblement ambiguë comme proposition. Surtout comme quand on avait des antécédents comme les siens. La suite de la question de Turner le gênait un peu plus. Que faisait-il dans les couloirs ? Comment expliquer cela ? Comment dire qu'on avait juste besoin de tromper l'ennui pour oublier qu'on a tué à dix ans sa jumelle ? Franchement, ce n'est pas le genre de choses que l'on déclare de but en blanc à un professeur ! Non vraiment, il fallait trouver autre chose. Heureusement pour Ewen, l'homme mit quelques longues secondes à arriver dans la chambre.

Ewen se sentit néanmoins obligé de répondre à sa question quand l'homme passa la porte.


« Je n'arrivai pas à trouver le sommeil, et dans ces moments là, j'ai l'habitude de sortir flâner dans les couloirs. Jusqu'à présent, j'ai toujours réussi à éviter les soucis. Et au final, même ce soir, je m'en sors plutôt bien en finissant sur votre lit, non ? C'est toujours mieux qu'entre les mains de l'autre pervers. »dit-il avec un sourire charmeur.

Le jeune éphèbe repoussa quelques mèches de cheveux envahissantes, libérant de cet envahisseur blond son visage et ses fines épaules. Son chandail blanc tombait légèrement le long de son épaule droite, révélant le ligne fine de son cou.


« Quoique, si ça se trouve, vous avez accepté de m'aider pour pouvoir ensuite me faire un ignoble chantage... C'est ce que font les professeurs normalement aux élèves qui n'obéissent pas aux règlements non ? »dit-il d'une voix taquine.

Au moins, Ewen pouvait être heureux, en arrivant dans ces appartements, il avait trouvé une compagnie, quelqu'un pour combler l'ennui, le vide de son existence.
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MessageSujet: Re: Vous n'oseriez pas abandonner une demoiselle en détresse monsieur ?   Vous n'oseriez pas abandonner une demoiselle en détresse monsieur ? EmptyMer 27 Juin - 10:27

« Votre lit m'a l'air confortable pour deux... Et puis, je vais peut-être éviter de me montrer non loin de la porte, on ne sait jamais avec Rusard. »

Comme elle voulait hein? Si elle voulait rester dans la chambre je n'avais rien contre. Certes la tournure de sa réponse est assez ambiguë...On pourrait presque croire qu'elle me faisait des avances. C'est assez étrange car d'habitude c'est moi qui fait ce genre de manège et ensuite avec ce genre de réplique on pourrait penser qu'elle s'est fait surprendre alors qu'elle venait exprès pour me faire ce genre d'avance. C'est vraiment perturbant même pour un vampire qui en as vu des vertes et des pas mures comme moi.

Néanmoins, le meilleur moyen de s'en assuré c'est de le rejoindre, je pose ma bière sur la table même si elle n'est qu'as moitié vide et oui avec ma chance il as fallu que tout cela ait lieu à peine quelques minutes après que je l'ai prise et comme j'aime bien prendre le temps de les dégusté....enfin bref je me lève et m'avança d'un pas lent vers ma chambre tout en retirant mon long manteau de cuir que j'accroche sur le porte-manteau fixé sur la porte de la chambre, oui j'étais encore complètement habillé mais c'est tout à fait normal, j'avais prévu de faire un tour pour aller me nourrir non pas que j'ai vraiment "soif" mais depuis que je suis professeur ici j'ai pris l'habitude de boire à un rythme régulier, tous les trois ou quatre jours en somme, pour éviter de souffrir de la soif et évité tous les débordements qui s'en suivent.

Je passe la porte et la referma derrière moi, l'élève se décida enfin à m'expliquer la raison de sa présence dans les couloirs.


« Je n'arrivai pas à trouver le sommeil, et dans ces moments là, j'ai l'habitude de sortir flâner dans les couloirs. Jusqu'à présent, j'ai toujours réussi à éviter les soucis. Et au final, même ce soir, je m'en sors plutôt bien en finissant sur votre lit, non ? C'est toujours mieux qu'entre les mains de l'autre pervers. »

Parfaitement logique, d'ailleurs je n'ai jamais vraiment compris en quoi c'était interdit de sortir le soir. Si les portes des salles étaient correctement fermées je ne vois pas où est le problème. De plus si un élève n'arrivait pas à dormir, en se promenant dans les couloirs il ne risquait pas de réveiller les autres. Cependant la fin de sa réponse me tira un sourire traité Rusard de pervers passe encore, mais le faire alors qu'on se trouve sur le lit d'un professeur cela se trouve quelques peut déplacer surtout qu'elle prend une pose terriblement sexy juste après avoir dit cela. Effectivement elle penchait la tête légèrement sur le côté et son cou ainsi que son épaule étais dégagée. Certains hommes diraient que j'abuse en disant que la pose est sexy mais en langage vampire çà l'était c'est presque comme si une jolie femme vous proposais de vous servir un repas succulent et gratuit tous en faisant des choses qui ne sont pas faites pour être dites. De ce point de vue je peux facilement dire que peu d'hommes y résisterais à par le directeur surement.

Cependant, elle n'était pas si idiote que cela, effectivement venais de déclaré qu'elle était peut-être tombé dans un piège. Mais elle aurait dû y penser avant d'entrer ici non? Je me laisse tombé sur le lit non loin d'elle je comptais bien l'effrayer un peu afin qu'elle évite de recommencer cette fois elle avait eu de la chance de tomber sur moi et pas sur quelqu'un d'autre, mais pour son bien il valait mieux qu'elle ait un peu peur ce soir pour rien et que cette "mauvaise" expérience lui évite d'en faire une vraiment mauvaise plus tard.


-Effectivement tu as eu de la chance d'échappé à un pervers mais qui te dit que si tu en as échappé à un cela n'est pas pour tombé dans les bras d'un deuxième bien pire? Surtout qu'actuellement tu te trouve dans une chambre d'où personne ne pourras t'entendre si il t'arrivais quelque chose.

En disant cela j'affichais un sourire mauvais tout en fixant avec insistance la partie laisser à découvert par ce qu'elle portait, j’espère qu'elle comprendras le message...
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Ewen MacGayl
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MessageSujet: Re: Vous n'oseriez pas abandonner une demoiselle en détresse monsieur ?   Vous n'oseriez pas abandonner une demoiselle en détresse monsieur ? EmptyMer 27 Juin - 21:02

L'homme était venu dans la chambre. Pour un professeur, c'était bizarre. Habituellement, ils préféraient garder un minimum de distance. Ce n'était pas le cas. C'était inhabituel. Pas dérangeant pour autant. Pas de l'avis d'Ewen. Il n'était pas spécialement fan des choses conformistes, alors pourquoi pas ? Le dit-professeur aurait même pu lui faire des avances que ça ne l'aurait pas gêné. C'aurait plutôt été flatteur. Mais ce n'était pas très professionnel, il n'irait sans doute pas jusque là. Quoique. Ne jamais sous-estimer un homme, il sera toujours plein de ressource à ce niveau. Quitte à ruiner sa réputation. Les yeux glacés d'Ewen suivirent l'homme, le dévisageant.

Il cherchait à comprendre quel jeu jouait réellement cet homme. Trop de sympathie pour ses élèves, c'était tout de même un peu tendancieux. Accepter de rejoindre un élève en pleine nuit sur un lit, c'était tout simplement inconscient. Ou alors, cet homme se croyait au dessus de tout problème. Il n'envisageait pas la théorie du complot parce qu'il était persuadé de sa toute puissance. Le blond se tourna légèrement vers lui alors qu'il s'asseyait à côté de lui. Un fin sourire aux lèvres, sourie qui s'agrandit au fur et à mesure des paroles de l'homme. Il finit même par avoir un léger rire.

Qui croyait-il intimider ? Remarquant le regard vers la seule partie de son corps dénudé, Ewen poussa la provocation, replaçant son pull de façon à dénuder en grande partie ses deux épaules. Ce pull était définitivement son préféré. Il planta son regard dans celui de l'homme, avec assurance. Il n'avait pas peur. De toute façon, qu'avait-il à craindre ? Un viol ? Il serait consentant. La mort ? Depuis le temps qu'il l'attendait celle-là, elle ne lui faisait plus vraiment peur.

« Pardonnez mon hilarité, monsieur, mais vous n'êtes pas vraiment crédible. Et la situation elle-même n'est pas crédible. Car certes, vous pouvez être un pervers plus vicieux que Rusard, ce ne serait pas difficile à faire. Néanmoins, quoi que vous me fassiez, les conséquences risqueraient de menacer votre place ici et au sein même de la société sorcière. »répondit-il avec un sourire tout aussi mauvais au professeur.

Pourquoi diable prend-on toujours les jolies têtes blondes pour des personnes innocentes et sans défense ? C'était terriblement stupide. C'était même dangereux. On ne sait jamais vraiment à qui on a à faire. Après tout Ewen pourrait très bien être un mangemort, ce n'était pas improbable. Il avait depuis quelques années échappé de peu à cette initiation. Dans un tel cas, il aurait pu être une personne redoutable. Et pourtant...


« Parce que quoique vous me fassiez, Rusard n'oubliera pas qu'il est persuadé d'avoir vu la silhouette fluette d'un élève entrer dans vos appartements. Si je disparais, vous serez le principal suspect. Or pendant que vous parliez avec Rusard, j'ai peut être laissé un message quelque part dans cette chambre, ou une preuve accablante. Une barrette peut-être. C'est très facile à cacher une barrette vous savez... »continua-t-il avec toujours autant d'assurance.

Il s'approcha un peu plus du professeur. Trop au goût sans doute de nombreuses personnes. Il posa une main sur l'épaule de l'homme, alors que son corps s'était tourné vers lui, ses lèvres allant frôler son oreille.


« Enfin, après je dis ça, mais si ça se trouve, je suis une personne qui a un tel sens de la reconnaissance, que si j'ai accepté d'aller dans votre chambre et vous ait invité à m'y rejoindre, c'est pour que vous fassiez ce que vous voulez de moi. A vous de voir, Monsieur Turner. Mais pour vous aussi c'est un jeu plutôt dangereux. »murmura-t-il avec une voix malicieuse, et totalement tentatrice.

Il correspondait à tout sauf au profil de la pauvre victime sans défense à présent, sa tête allant se poser sur l'épaule du professeur sans aucune crainte.

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MessageSujet: Re: Vous n'oseriez pas abandonner une demoiselle en détresse monsieur ?   Vous n'oseriez pas abandonner une demoiselle en détresse monsieur ? EmptySam 30 Juin - 23:29

Etonnamment, plus j'avançais dans mon discours plus elle souriait, à croire qu'elle attendais que cela que je fasse quelque chose d'irréfléchis et de complètement stupide. Certes, j'en serais capable si ma mission n'était pas aussi importante. D'ailleurs elle tente le diable en se dénudant un peu plus. Ce qu'elle ne sais pas c'est qu'en faisant cela elle m'invite presque à la mordre. Mais je tiendrais, j'ai bu il y as deux jours et j'ai déjà vécue plus longtemps que cela sans me nourrir et puis c'est pas comme si j'allais en mourir après tout. Mais ce qui me troubla le plus ce n'est pas qu'elle essaye de me faire du charme ou dût moins qu'elle essaye de me tenter , mais ce fût ce qu'elle me répondit.

« Pardonnez mon hilarité, monsieur, mais vous n'êtes pas vraiment crédible. Et la situation elle-même n'est pas crédible. Car certes, vous pouvez être un pervers plus vicieux que Rusard, ce ne serait pas difficile à faire. Néanmoins, quoi que vous me fassiez, les conséquences risqueraient de menacer votre place ici et au sein même de la société sorcière. »

Ainsi donc elle faisait cela en connaissance de cause, elle n'est pas idiote la petite, dût moins , elle l'est moins qu'elle ne le parait. Et vu sous cette angle, c'est elle qui as les cartes en mains sauf qu'elle oublie un détails si je voulais vraiment l'éliminé, je le pourrais et sans risque il me suffirais ensuite de cacher son corps dans la forêt interdites, non loin du nid d'acromentules, son corps disparaîtrait dans le ventre de milliers de ses bestioles et il suffiras de dire qu'elle à voulus s'amusé en visitant la forêt et est accidentellement tomber sur les araignées qui sont si cher à notre amis Hagrid. Et oui, l'expérience est très utile quand on veut se débarrassé d'un cadavre. Cependant les menaces ne semblent pas avoir prise sur elle alors mieux vaut ne rien dire.

« Parce que quoique vous me fassiez, Rusard n'oubliera pas qu'il est persuadé d'avoir vu la silhouette fluette d'un élève entrer dans vos appartements. Si je disparais, vous serez le principal suspect. Or pendant que vous parliez avec Rusard, j'ai peut être laissé un message quelque part dans cette chambre, ou une preuve accablante. Une barrette peut-être. C'est très facile à cacher une barrette vous savez... »

Cette fois ce fut mon tour de rire cacher une preuve ici, cela marcherais si je n'étais pas sorcier, un petit tergio et hop disparu toutes les traces et mêmes les traces de sang. Dieu que ce sortilège est utile pour un criminel, je ne comprend pas ceux qui n'y pense pas. Enfin, si tout le monde y pensais les crimes resteraient impunis. Et c'est dans la nature humaine.

Cependant mon rire s'arrêta brusquement, voila qu'elle joue une nouvelle carte, elle pose sa main sur mon épaule avant d'approcher sa tête de mon cou, j'ai peur un instant qu'elle m'embrasse dans le cou mais fort heureusement ce n'étais pas le cas elle venais me chuchoter à l'oreille.


« Enfin, après je dis ça, mais si ça se trouve, je suis une personne qui a un tel sens de la reconnaissance, que si j'ai accepté d'aller dans votre chambre et vous ait invité à m'y rejoindre, c'est pour que vous fassiez ce que vous voulez de moi. A vous de voir, Monsieur Turner. Mais pour vous aussi c'est un jeu plutôt dangereux. »

Elle sait s'y prend pour tenter les gens, je dois le reconnaître mais je ne suis pas ce genre de professeur....

Bon si je le suis mais non, pas ce soir .

Mais pourquoi quand je dis cela de un j'ai pas l'air crédible deux secondes et de deux elle pose sa tête sur mon épaule....Elle cherche vraiment à ce qu'on passe à l'acte là. Pourquoi faut'il que cela m'arrive!

Je lâche un soupir exaspéré et pose ma tête sur ma main gauche au niveau du front., il faut réfléchir...Cette fille vas me rendre fou. Honnêtement je ne sais pas comment la gère .Enfin mieux vaux tenter quelques chose que ne rien faire.


-Tu sais le jeux n'est pas aussi risquer que tu le crois de mon côté, car j'ai déjà quelques désaccord avec la communauté des sorciers. Alors un peu plus ou un peu moins honnêtement je m'en contre-fiche. Alors j'ai une autre question pour toi, as-tu toute la nuit devant toi?

Si elle veux jouer sur ce plan là, je peut aussi on verras qui iras le plus loin.
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MessageSujet: Re: Vous n'oseriez pas abandonner une demoiselle en détresse monsieur ?   Vous n'oseriez pas abandonner une demoiselle en détresse monsieur ? EmptyDim 8 Juil - 23:13

Ewen fut amusé de voir que son petit jeu marchait extrêmement bien sur le professeur. Qui l'aurait cru ? Un être si professionnel, si intègre, et si honnête. Et pourtant si corruptible. C'était presque risible d'avoir aussi peu de volonté en étant un professeur réputé. Franchement, celui qui a dit que derrière tout homme se trouve une femme n'a pas du se tromper. Ils sont tellement facile à mener par le bout du nez dès qu'on a quelques attributs sexuels attrayants. Son sourire s'agrandit au soupire de l'homme. Oh, le temps des dilemmes arrivait, dois-je ou ne dois-je pas corrompre tous les codes moraux que j'essaie désespérément d'appliquer ?

Un nouveau rire passa ses lèvres au constat de l'homme. Rien à perdre vraiment ? Un homme comme lui avait sûrement plus à perdre, il ne devait juste pas s'apercevoir de tout ce qu'il avait. La question stoppa son rire, mais un sourire resta néanmoins ancré à ses lèvres rosées.


« Oh si vous n'avez rien à perdre, on peut donc considérer que vous avez eu de la chance que je frappe à votre porte et non celle voisine. Vous auriez raté une compagnie fort agréable... »répondit-il d'abord, éludant la question de l'homme.

Il releva la tête, dégageant l'épaule du professeur. Mais il ne s'éloigna pas, au contraire, il s'approcha un peu plus de lui. Se penchant pour essayer de capter son regard, essayant de le faire se noyer dans la mer de ses yeux. Ce ne devait pas être dur de voir clair dans le jeu d'un homme si influençable. Il appuya ses mains sur les genoux, ses doigts caressant au travers du pantalon les jambes de l'homme.


« Vous savez monsieur, j'ai la vie devant moi. Alors, je peux bien sacrifier une nuit pour remercier un vieux, triste et solitaire professeur comme vous non ? »murmura-t-il d'une voix malicieuse et sensuelle.

Ses cheveux tombait petit à petit de ses épaules pour glisser sur les cuisses de l'homme. Comme des liens les emprisonnant l'un et l'autre. La preuve d'une promise promiscuité. Ewen s'amusait clairement de la situation. Il n'aurait jamais pensé occuper sa nuit ainsi. C'était au delà de toutes ses attentes. Personne ne le croirait s'il racontait ça. Même le journal n'oserait pas publier un tel scoop. Tant pis, il garderait cela pour lui.


« Et vous, vous avez la nuit devant vous, ou vous attendez la visite d'autres élèves ce soir ? »demanda-t-il un peu narquois.

A peine eut-il demandé cela, que son visage s'approcha rapidement et précisément de celui de l'homme, lui arrachant un habile mais bref baiser.


« Promis, tout cela restera entre vous et moi, monsieur. Je ne tiens pas à vous causer de problèmes. »chuchota-t-il à son oreille, déposant un baiser dans son cou.
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